Le carnet du master « Sciences-société » - Université de Strasbourg
Imaginons des moments incontournables sur l’histoire des sciences, comme les lois de Kepler, la physique newtonienne, l’équation de Maxwell, la théorie de l’évolution darwinienne ou la théorie de la relativité… Chacun de ces moments s’est-il produit par hasard ? Tous ces éléments doivent-ils nécessairement entraîner le niveau actuel de la réussite scientifique ?
Dirait-on que la durée bergsonienne et que le Dasein de Heidegger sont des concepts insensés car ils ne sont pas mesurables ? Font-ils partie de la pseudoscience ?
À la catégorie de “sciences” appartiennent tous les énoncés falsifiables, ceux qui survivent aux tests sévères, ou alors ceux qui résolvent mieux les énigmes. D’accord, mais quels que soient les critères de démarcation entre science et non-science, peuvent-ils nous garder contre les fausses croyances ?
Si vous vous demandez ce qu’un film racontant l’histoire d’un rappeur raté et d’un réfrigérateur intelligent peut nous apprendre, vous êtes au bon endroit.
Les émotions sont-elles compatibles et bénéfiques à l’exercice scientifique ? Jeff Kochan montre que la réponse semble être oui. Il repense les émotions dans une nouvelle épistémologie, qui utilise la subjectivité comme source de savoir. Les émotions, un problème pour...
Savoir et pouvoir, une association qui nous est bien familière.Mais ce pouvoir vient-il uniquement d’une supériorité lors de conflits intellectuels ? faut-il admettre une puissance absolue dans ce pouvoir de « guide » ?
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